Malgré les cours à distance les élèves de la 206 ont fait preuve d’une belle motivation et d’une créativité originale.
En effet, dans le cadre d’un chapitre sur l’histoire du sonnet, une séance était consacrée à l’entraînement à la Malgré les cours à distance les élèves de la 206 ont fait preuve d’une belle motivation et d’une créativité originale.
En effet, dans le cadre d’un chapitre sur l’histoire du sonnet, une séance était consacrée à l’entraînement à la lecture expressive du sonnet « Je vis, je meurs » de Louise Labé afin d’en terminer l’étude qui en avait été menée sous la forme d’un commentaire littéraire. Des liens pour en faire écouter des versions lues mais aussi chantées ont été proposés. Et les élèves ont été invités à s’enregistrer pour pouvoir évaluer leur prestation.
C’est ainsi que des élèves, suivant l’option musique, ont proposé des versions remarquables qui méritent certainement d’être mises en avant. C’est chose faite, écoutez et régalez-vous !
Note d’intention d’ Ysaline Rullo, 206 :
« Au début avec le piano, j’ai essayé de faire des battements de cœurs et petit à petit le coeur bat de moins en moins vite jusqu’à s’arrêter. J’ai décidé de faire cette intro pour lancer le premier vers qui dit « je vis, je meurs…. » .
Les deux voix sont là pour montrer l’espoir et le désespoir. La voix aigüe garde constamment espoir ! Or la voix plus grave puise sa force dans le voix plus aigüe. Mais à la fin, la voix aigüe perd légèrement de l’espoir et sur ce dernier vers « et me remet en mon dernier malheur » marque la fin de l’espoir.
Les gestes sont là pour montrer une expression plus forte des sentiments !
Quand je regarde ma main qui vient doucement vers moi, c’est pour symboliser le fait que cette souffrance vis à vis de l’amour est éternelle et impossible de s’en séparer ! » Ysaline Rullo 206
Projet mené par Patrice Lacan avec sa classe de 206